Je trouve le personnage assez réussi, très humain, quoique ses hésitations sur sa vocation religieuse (pasteur) m'ait assez "pompé l'air".
Le passage de l'universitaire distingué au colon américain est bien décrit, intéressant. On sent que Mme Gabaldon connait bien ce milieu.
Le retour au XXe siècle et le mal-être qu'il induit est aussi bien vu.
En revanche, le"coup" de la pendaison j'ai beaucoup de mal à l'admettre ; c'est peut-être possible.. mais je trouve qu'une fois de plus, Diana va un peu trop loin dans l'invraisemblance. Dommage.